23.12.09

La femme est l’avenir du capital

Il paraît que la femme est l’avenir de l’homme. On a oublié de préciser qu’il s’agit de l’homme riche.

Le système n’a jamais autant fait la promotion de la femme à la télévision comme dans le milieu du travail.

Le travail justement, parlons-en.

L’arrivée de femmes à des postes de cadre d’entreprise est en explosion. Est-ce un hasard ou les femmes sont-elles simplement plus compétentes que les hommes ?

Il n’en est rien. La réponse est simple : la femme va dans le sens du système, de l’entreprise, de son patron, donc, du capital.

Les femmes sont toujours plus dociles envers leur patron qui pourra toujours leur en demander plus. Elles ne sont pas solidaires (la fameuse rivalité féminine) et en tant que chef d’équipe, souvent bien plus tyranniques que les hommes …

Pour assumer ces postes à responsabilité, elles ont besoin de se « viriliser ». Du coup, elle ne dégage aucune féminité, ce qui à la base est quand même censé faire de la femme, une femme…

C’est parce qu’elle ne dispose pas naturellement de cette virilité masculine qu’elles se sentent obligées d’ajouter plus de tyrannie dans leur management.

Si elle veut s’inspirer de l’homme, la femme, parfaite collaboratrice aux dents longues, devrait abandonner sa quête de virilité pour la raison masculine…

Le dieu du stade


Ils ont beau se foutre à poil, s’épiler et se couvrir d’huile chaque année dans leur calendrier hors de prix. Les « dieux du stade » ne sont rien face à la star du rugby français : Sébastien Chabal.

Tel un Dieu, il arbore sa barbe et sa stature de géant, parle peu, mais écrase ses adversaires.

L’humble Chabal, loin des paillettes, n’a pourtant rien d’un grand joueur de rugby, mais tout d’un grand homme.

Les nanas ne se sont pas trompées, c’est lui leur préféré !

Pourtant, Sébastien ne fait pas de calendrier à la con et ne cède pas à la mode du poker pour faire des émissions people.

En cette période « tafiolesque », ou les hommes doivent prendre exemple sur des rugbymen dévirilisés, les femmes, elles, retournent vers leurs fondamentaux.

Finalement, la « starification » de Chabal, infondée sur le plan sportif, est positive.

C’est le retour à des valeurs saines. L’amour de la force, du combat, bref, de la virilité, symbole ultime de représentation de l’homme.

Si l’homme « moderne » veut plaire aux femmes, nul besoin d’artifice. Il suffit d’assumer son statut de mâle ! Comme Chabal !

Hommage à Konk: Sarkozy et l'immigration

3.12.09

Qui veut de Mélenchon ?


Il est marrant le Mélenchon. C'est difficile pour lui de se trouver une place.

Après avoir quitté (très justement) le Parti Socialiste, le jugeant trop mou et surtout trop libéral (il aurait pu le faire beaucoup plus tôt), notre ami essai comme il peut de retrouver des couleurs en s'associant avec un parti ayant le vent en poupe.

La couleur verte, c'est ce qu'il a choisi dernièrement après le râteau de Besancenot. Il faut le voir se mettre à quatre pattes devant Cohn-Bendit. La scène fait presque pitié. Mélenchon, autoproclammé "de gauche", mais surtout qui clame haut et fort son patriotisme, prie le seigneur Danny en plein direct à la radio!

Danny le libertaire, Danny le libéral, Danny le pro-UE, Danny l'anti-De Gaulle, Danny le symbole de l'imposture soixante-huitarde, Danny qui se vante de refuser la nationalité française en sortant sa carte d'identité allemande ! C'est qu'il est encore plus à droite que le Parti Socialiste !

Dommage pour Jean-Luc, le leader bobo écolo les préfère plus jeunes...

Y'a pas à dire. Les professionnels de la politique politicienne puent.